Végétalisation du coeur de ville

La végétalisation s'enracine en cœur de ville. Plébiscitée par les Millavoises et Millavois lors de la votation citoyenne, l’action porte sur les boulevards de Bonald, Sadi-Carnot et la rue Clausel-de-Coussergues mais aussi dans les écoles publiques. Ainsi à la rentrée 2024, l'école Jules Ferry sera la première cour végétalisée. Dans le même temps, les démarches de végétalisation à l’initiative des riverains et commerçants, rue du Mandarous par exemple, sont pleinement accompagnées par la Ville.

Contenu mis à jour le 01.08.24

Végétaliser c'est :

  • Des îlots de fraîcheur en ville
  • Une meilleure qualité de l’air grâce à la filtration, par les plantes, des particules polluantes
  • Un adoucissement de l’ambiance urbaine, en faveur du bien-être
  • Une rétention des eaux de pluie
  • Une approche paysagère du centre-ville
  • Une nécessaire adaptation au réchauffement climatique

En finir avec le tout béton dans les cours d'école

Cet été 2024, les cours élémentaire et maternelle de l'école Jules Ferry se transforment. Les enfants ont laissé place aux mini pelles qui travaille d'arrache pied pour "débétonné", cette étuve du coeur de ville. Dès la rentrée, les écoliers découvriront de toutes nouvelles cours d'école, avec des espaces arborés, du béton drainant de couleur claire, de nouveaux terrains de jeux. 

Ramener la nature en ville

Boulevard de Bonald, l'allée verdoyante

Les services municipaux ont crée des massifs de plantes vivaces, peu gourmandes en eau, agrémentés d’arbustes pour assurer une ornementation verticale. Des bordures en corten viennent délimiter ces îlots de végétation et apportent une touche de modernité. 

 

La façade du Créa végétalisée

Plantation de massifs horizontaux en bordure du bâtiment et de variétés grimpantes entre les fenêtres. Cet habillage végétal, propice au confort thermique et acoustique du bâtiment, s’accompagnera d’une vigilance accrue vis-à-vis de l’étanchéité.

Un tapis de verdure au pied des arbres

Des tapis de verdure poussent au pied des arbres du centre-ville pour favoriser l’infiltration des eaux de pluie, limiter les îlots de chaleur provoqués par le bitume et laisser la nature reprendre ses droits.